Chaque fichier de descripteur a la structure globale suivante :
type-entité nom-entité
{
attributs-et-sous-entités
}
Où :
nom : attributs
type nom :attributs
nom
{
attributs-et-sous-entités
}
type nom
{
attributs-et-sous-entités
}
Le type et le nom sont respectivement le type et le nom de la sous-entité.
Les attributs sont une liste séparée par des virgules de paires nom=valeur. Vous pouvez également les spécifier dans le bloc {} après la ligne de titre de l'entité. Lorsque les attributs sont spécifiés sur la même ligne que la définition d'entité (après deux-points), vous pouvez spécifier des attributs binaires sans valeur (uniquement le nom d'attribut, défini sur 1). Par exemple,
volume boot: dev=/dev/hda1, ro
est identique à
volume boot: dev=/dev/hda1, ro=1
Chaque type de sous-entité définit un espace de noms et ce dernier ne peut contenir qu'une sous-entité d'un nom donné. Cela s'applique aux sous-entités sans type (laissant ainsi penser que les sous-entités sans ont une chaîne vide comme type).
La spécification d'attributs est possible sous forme d'énumération et de bloc au moyen de signes {}. La forme de bloc devrait être évitée sauf s'il convient de faire ressortir un attribut particulier (par exemple, l'attribut .class dans une spécification de composants subordonnés). Sinon, pour des sous-entités plus simples contenant peu d'attributs, la syntaxe énumérative doit être privilégiée. Pour les entités plus complexes comprenant de nombreux attributs ou sous-entités, utilisez le bloc {}.
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